6 June 2025
Panama 1-2 Arabie Saoudite : les réactions d'après match

Pour le compte de la deuxième journée du groupe A, le Panama et l'Arabie Saoudite s'affrontaient à 14h30 à Avignon. A la suite de la victoire de l'Arabie Saoudite, nous avons recueilli différentes réactions en conférence de presse :
Jorgy Dely Valdes, sélectionneur du Panama :
"En fait, le premier but, c'est le même qu'ils mettent contre la France. On savait qu'il était rapide, on avait mis une surveillance, surtout à la perte de la balle mais malheureusement il marque quand même. On va essayer de continuer pour le prochain match.
On avait des joueurs sous la menace d'une suspension et on doit aussi préparer la prochaine coupe du monde donc on fait tourner pour cela.
Murillo, joueur du Panama :
"Je suis content d'avoir marqué mais on a perdu donc est déçu. Le coup-franc, je l'ai bien senti, j'ai parlé avec mes coéquipiers et grâce à Dieu j'ai réussi. C'était un moment important parce qu'ils venaient d'avoir un carton rouge et ça nous a permis de prendre les devants."
Luigi Di Biagio, sélectionneur de l'Arabie Saoudite :
"Je pense que le Panama est une équipe forte, qui joue un bon jeu et qui a le sens du sacrifice. Ils ont aussi un jeu de possession.
On a montré qu'on est une belle équipe, on s'est créé de très bonnes occasions. Je pense qu'on ne méritait pas de perdre contre la France donc c'est bien de gagner aujourd'hui.
Al Jaber est un bon joueur. C'est un joueur de sacrifice, il a beaucoup de qualités. Il a fait un bon match aujourd'hui mais ce n'est pas la première fois. Il travaille pour l'équipe et c'est un joueur important pour nous."
Al Jaber, joueur de l'Arabie Saoudite :
"On devait gagner parce que si on perdait ce match, on n'avait plus aucune chance de se qualifier pour les demi-finales. On s'est parlé tous ensemble à la Mi-Temps pour se dire qu'on devait gagner et c'est ce qu'on a fait.
C'est un gros tournoi, j'adore le jouer. C'est bien pour moi et c'est bien pour l'équipe. Je joue mon jeu et les bonnes performances viennent naturellement."
Maxime Buteau